Les souvenirs en bref
Le roman commence par le décès du grand-père du narrateur. Les souvenirs remontent alors. Le fil conducteur du récit est le souvenir, celui de membres de la famille, de personnes rencontrées, de personnalités évoquées. Tous ces souvenirs s’entremêlent au récit.
Le mot de l’éditeur
Cultiver la mémoire des instants heureux, c’est le sens du roman de David Foenkinos Les Souvenirs, qui invite à la méditation sur l’instant présent. L’auteur nous offre un portrait poétique et délicat au travers des rites de passage qui ponctuent la vie : le mariage et la vie à deux, les enfants, la vieillesse… Ces thèmes universels parlent au plus grand nombre et rendront nostalgique plus d’un lecteur. Un roman qui traite avec justesse et légèreté de la vie et ses dynamiques sociales.
Quelques mots sur l’auteur David Foenkinos
Né en 1974 à Paris, David Foenkinos suit des études de lettres. David Foenkinos, formé au jazz, devient professeur de guitare. Après avoir été attaché de presse dans l’édition, David Foenkinos parvient à publier sur premier roman, « Inversion de l’idiotie ».
Le roman « La délicatesse » remporte en 2010 le prix Conversation et le prix des Dunes. « Charlotte » obtient le prix Renaudot et le prix Goncourt des lycéens en 2014.
Le roman « Les Souvenirs », qui s’inspire de son hospitalisation à 16 ans pour une maladie de la plèvre. Il a été adapté pour le cinéma par Jean-Paul Rouve.
Notre avis
L’auteur aborde avec beaucoup de finesse et de lucidité ces tranches de vie, la mort, la vieillesse, la dépression, la séparation… Malgré la gravité des sujets évoqués, il parvient à mettre de la légèreté dans son roman et à nous faire sourire avec un soupçon d’humour et de dérision.
