Un avion sans elle en bref
Un crash d’avion. Un survivant : un bébé de 3 mois. Deux nourrissons ont embarqué dans l’avion. Deux familles se déchirent. Pendant 18 ans, un détective privé cherche la vérité sur sa famille… avant de mourir en laissant son cahier regroupant l’ensemble des notes de son enquête.
Le mot de l’éditeur
23 décembre 1980. Un crash d’avion 23 décembre 1980. Un crash d’avion dans le Jura. Une petite libellule de 3 mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent. La justice tranche : elle sera Émilie Vitral. Aujourd’hui, elle a 18 ans, la vie devant elle mais des questions plein la tête. Qui est-elle vraiment ?dans le Jura. Une petite libellule de 3 mois tombe du ciel, orpheline. Deux familles que tout oppose se la disputent. La justice tranche : elle sera Émilie Vitral. Aujourd’hui, elle a 18 ans, la vie devant elle mais des questions plein la tête. Qui est-elle vraiment ? Dix-huit ans que Crédule Grand-Duc, détective privé, se pose la même question. Alors qu’il s’apprête à abandonner, la vérité surgit devant ses yeux, qu’il referme aussitôt, assassiné. Il ne reste plus à Émilie qu’un vieux carnet de notes, des souvenirs, et Marc, son frère, pour découvrir la vérité…
Quelques mots sur l’auteur
Michel Bussi, né le 29 avril 1965 à Louviers (Eure), est un auteur et politologue français, professeur de géographie à l’université de Rouen, où il dirige une UMR du CNRS.
En tant que chercheur universitaire, il publie depuis une vingtaine d’années des articles et ouvrages scientifiques.
Son premier roman, « Code Lupin », s’est vendu à plus de 7 000 exemplaires et a ensuite été publié en feuilleton, pendant 30 jours lors de l’été 2010 par le quotidien « Paris Normandie ».
Son deuxième roman, « Omaha crimes », a obtenu le prix Sang d’encre de la ville de Vienne en 2007, le prix littéraire du premier roman policier de la ville de Lens 2008, le prix littéraire lycéen de la ville de Caen 2008, le prix Octave-Mirbeau de la ville de Trévières 2008 et le prix des lecteurs Ancres noires 2008 de la ville du Havre.
Suivent d’autres romans qui remportent un grand succès : « Mourir sur Seine », qui a obtenu en 2008 le prix du Comité régional du livre de Basse-Normandie, « Sang famille » en 2009, « Nymphéas noirs » en 2011 qui remporte notamment le prix des lecteurs du festival Polar de Cognac, le prix du polar méditerranéen, le prix Michel Lebrun de la 25e heure du Mans, le prix des lecteurs du festival Sang d’Encre de la ville de Vienne, le Grand prix Gustave Flaubert de la Société des écrivains normands, « Un avion sans elle » en 2012 qui est récompensé par le prix Maison de la presse 2012, le prix du roman populaire 2012 et le prix du meilleur polar francophone 2012, « Ne lâche pas ma main » qui a reçu le prix du roman insulaire 2013.
En 2010, il participe au recueil de nouvelles « Les Couleurs de l’instant » publié dans le cadre du festival Normandie Impressionniste, avec la nouvelle « T’en souviens-tu mon Anaïs? ».
Son roman « N’oublier jamais » est sorti en mai 2014. Ont été publiés depuis « Maman a tort » en 2015.
Une des particularités de son travail est de situer la majorité de ses romans en Normandie.
Notre avis
Michel Bussi réussit encore une fois à tenir le suspens durant tout le roman.
Parallèlement au récit, le journal qu’à rédigé le détective privé nous décrit chacun des protagonistes, nous raconte ce qui s’est passé ces 18 dernières années et nous donne des éléments de l’enquête. Cela permet au lecteur de découvrir progressivement le contexte et d’avancer dans sa réflexion en même temps que le détective privé.