Joyeux suicide et bonne année ! en bref
Sylvie Chabot, 45 ans, juriste, célibataire, sans enfants. Elle vient de perdre son père. Elle se sent seule. Fille unique, sa mère est décédée 4 ans auparavant.
Un dimanche, en se promenant sur les quais de Seine, elle aperçoit le corps d’un homme flotter au milieu du canal. C’est le déclic. Sylvie prend la décision de se suicider dans 2 mois, le jour de Noël. D’ici là, elle se rend une fois par semaine chez un psy qui lui donne des exercices à accomplir entre chaque séance. Elle n’a plus rien à perdre.
Le mot de l’éditeur
« Tu fais quoi à Noël ?
— Moi je me suicide, et toi ? »
Bien sûr, dit comme ça, ça peut paraître sinistre, mais, à quarante-cinq ans, c’est ma meilleure option. Ce n’est pas comme si je faisais des malheureux autour de moi. Comme si j’abandonnais mari et enfants. Je n’ai ni chien ni chat. Même pas un perroquet pour me pleurer.
Et puis ça me laisse deux mois pour faire connaissance avec mon vrai moi.
Deux mois c’est court. Ou long, ça dépend de ce qui se passe, en fait.
Célibataire, peu d’amis, plus de parents, Sylvie Chabert est persuadée que sa vie ne mène à rien et veut mettre fin à ses jours. Mais une série d’événements imprévus contrarie son plan. Tour à tour hilarant et émouvant, Joyeux suicide et bonne année ! est un antidote à la solitude, un hymne à la vie, une comédie salutaire et impertinente.
Quelques mots sur l’auteur Sophie de Villenoisy
Née en 1968, Sophie Cosseron de Villenoisy a commencer à travailler dans la presse écrit. Après son one woman show « Scoops potins & Assedics, elle a écrit des chroniques humoristiques à la télévision et à la radio, des albums BD d’humour ainsi que des guides pratiques.
Son premier roman, « Joyeux suicide et bonne année » est en cours d’adaptation au cinéma.
Notre avis
Au fil des semaines, Sylvie regarde son quotidien sous un autre angle et retrouve du sens à sa vie. Ce roman léger, plein d’humour, nous apporte une bouffée d’optimisme.