La petite boutique japonaise d’Isabelle Artus en bref
Pamela (en référence à la série Dallas), qui a grandi en banlieue parisienne, est serveuse d’un restaurant japonais de Melun. Elle rêve de devenir geisha. Thad (en raison du best seller de Sulitzer adoré par sa mère), qui a vécu une enfance morose en Bretagne, est devenu homme de main. Samouraï dans l’âme, il est passionné de films et séries de kung-fu. Pamela et Thad se rencontrent à Paris dans la Petite boutique japonaise, une magasin de bonsaïs. Leur passion pour le Japon les rapproche immédiatement.
Un jour, Thad disparaît, laissant derrière quelques mots : « Je pars, pardon ». Puis une lettre énigmatique de Thad convainc Pamela, désespérée, d’aller à sa recherche au Japon.
Le Mot de l’éditeur
La jolie Pamela qui – allez savoir pourquoi – voulait devenir geisha, grandit dans un pavillon à Melun-Sénart. Autant dire que ce n’était pas gagné d’avance. Pendant ce temps, après une enfance morose rythmée par les épisodes de la série Kung Fu, le jeune Thad fini par devenir un homme… de main. Leur histoire vous apprendra que pour trouver l’amour, il faut d’abord se connaître soi-même et en passer par maintes aventures et autres rebondissements au pays du Soleil levant.
Quelques mots sur l’auteur
Après avoir travaillé dans la presse féminine, Isabelle Artus est devenue comme rédactrice en chef adjointe de Psychologies Magazine. Elle est désormais directrice de la communication de Guerlain. « La petite boutique japonaise » est son premier roman.
Notre avis
On en apprend un peu plus sur la culture du Japon. On s’attache aux deux personnages dont la psychologie est fouillée.
Plus qu’une histoire d’amour, c’est une véritable quête de soi. Il faut parfois aller au bout du monde pour se trouver… ou se retrouver.