La fenêtre de Dieu de Cédric Blondelot

9 Eve
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Tolbiac Juillet en bref

Le roman commence aux États Unis dans les années 1980. Dans le seconde partie, nous faisons connaissance avec Tolbiac Juillet, magicien et pickpocket, qui finit aspiré par la cuvette des toilettes… et se retrouve, au début de la troisième partie, dans la peau de Zéphir…

La fenêtre de Dieu

Résumé de la 4ème de couverture

De l’autre côté de l’Atlantique, à Chicago, une femme meurt dans l’incendie de son appartement.
Deux ans plus tard, le 31 Juillet 1979, rue de Tolbiac, en plein Paris, un nouveau-né est abandonné dans un kiosque à Journaux. Alors qu’il chiait sur Le Monde et pissait sur L’humanité, un couple le trouva et l’adopta.
Il fut appelé : Tolbiac Juillet.
Adulte, Tolbiac devient magicien. Ne lui demandez jamais de tour avec des colombes, il les déteste. Quant à son lapin, il n’en a plus. Il l’a bouffé la veille. Mais Tolbiac n’est pas seulement doué pour la prestidigitation, il est aussi un pickpocket de génie.
Sa vie bascule tandis qu’il fume une cigarette dans les toilettes d’une piscine. Il n’en sortira jamais.
Aspiré par la cuvette. Oui, aspiré !
L’impensable se produit alors. Dans le monde où il émerge, Tolbiac découvre la vie qu’il aurait eue s’il n’avait pas été abandonné.

Quelques sur l’auteur Cédric Blondelot

Né en Seine et Marne en 1976, Cédric Blondelot est scénariste pour la télévision et le cinéma. « La Fenêtre de Dieu » est son premier roman.

La fenêtre de Dieu

Notre avis

Ce roman est original. L’auteur semble ne s’être fixé aucune limite pour le plus grand bonheur du lecteur. Nous passons de la magie, à l’effet papillon en passant par la part de l’inné et de l’acquis. Il est bien écrit, avec un style fluide et, au fil des pages, quelques clins d’œil, un soupçon d’humour et une pincée d’émotion. Sous un aspect de légèreté, le roman aborde des sujets plus graves et plus profonds, avec beaucoup de justesse. Il est construit comme un puzzle avec, à côté de Tolbiac Juillet, la description de plusieurs personnages secondaires, des bonds dans le temps… avec pour fil rouge 913 B dit « Marguerite ». De l’empathie ressort de la description et la parcours de la plupart des personnages ce qui les rend très attachants. Il est difficile de refermer le livre après la lecture des dernières pages.
Une belle découverte !
Depuis, Cédric Blondelot a trouvé un éditeur. Nous lui souhaitons une bonne continuation et allons suivre avec attention le prochain roman.

Pour en savoir plus

http://www.cblondelot-auteur.com/

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